En pensant Watchmen et jeu vidéo, j'aurais plutôt vu un truc qui interrogeait le médium et le genre choisi dans une tentative d'élever le débat et d'offrir un écho aux préoccupations culturo-sociétales d'un public généralement considéré comme déficient. Mais bon, le changement de paradigme mené par Alan Moore ne pouvait pas trouver de résonance chez nous, la faute à la thune. Alors, tant pis, trois heures de jeu pour dix-huit euros, c'est pas bézef, surtout quand on finit par comptabiliser 2 h 30 d'ennui.