Merchants of Brooklyn est un condensé d’éléments odieux et abjects. On y trouve d’abord la vieille technique commerciale du "Achète mon jeu, pigeon, c’est le premier représentant du nouveau moteur à la mode", mariée à l’idée de génie "On fait original", saupoudrée de mauvais goût, le tout lié par une merveilleuse incapacité à livrer un produit fini. C’est ce genre de produit minable qui discrédite les développeurs indépendants et pour cette raison, il est vraiment essentiel de laisser ces parasites mourir de faim au milieu des traites impayées de leur moteur graphique high-tech.