Traduction : alors que les dinosaures sont magnifiques et pétillants à souhait, les humains pour leur part sont des laiderons au design inspiré des Village People et chiants comme la pluie. Les cartes sont peu nombreuses et l'unique mode deathmatch transforme chaque partie en clone de la précédente, où les hordes simiesques se réunissent au point le plus élevé en attendant les reptiles. Après deux heures, on s'ennuie sec et on n'a qu'une envie, retourner se faire une petite partie de Natural Selection 2 pour retrouver des sensations similaires en rallumant son cerveau.