À l'image de son prédécesseur, Death Stranding 2 est un jeu à la fois grisant (quand on arpente ses paysages à pied, qu’on prend part à un combat à la mise en scène incroyable et qu’on suspend volontiers son incrédulité pour se laisser emporter par son univers) et irritant (quand il faut poser une semaine de RTT à chaque cinématique, que le scénario prend des airs de soap opera ou qu’une énième figure hollywoodienne passe pour une apparition surprise). Il est moins radical, mais plus ouvert, et a de quoi susciter des sentiments contradictoires chez le joueur. J’ai crié au génie, puis à l'imposture, j'ai levé les yeux au ciel, j'ai pleuré d'émotion – et c'est finalement l’enthousiasme qui a pris le dessus.
Studio | Kojima Productions (Japon) |
Éditeur | Sony Interactive Entertainment |
Genre | action, aventure |
Plateforme | PS5 |
Année | 2025 |
Prix (lors du test) | 80 € |
DRM |